Reverse Globalization… Retour en arrière… Pardon?
Depuis quelque temps j’entends et je lis des articles sur l’impact de la hausse des coûts de l’énergie sur la production des produits et qu’on assiste à la Reverse Globalization, c’est à dire que la mondialisation est en perte de vitesse et qu’elle n’est pas aussi avantageuse qu’on le croyait. Personnellement je ne crois pas que ce soit juste. En fait, je crois que la situation actuelle démontre que l’énergie devient un élément déterminant dans la décision de fabriquer des produits localement plutôt que de les faire fabriquer à l’étranger.
En effet une étude de la CIBC (Jeff Rubin et Benjamin Tal) “Will soaring transport costs reverse Globalization” montre l’effet de l’augmentation du prix du baril de pétrole sur le transport des marchandises.
En 2000, il n’en coûtait que 3 000$ pour expédier un conteneur de 40’ de la Chine vers la côte est des États-Unis alors que lorsque le baril était près de 100$ il en coûtait près de 8 000$. On y émet l’hypothèse que si le baril monterait à 200$ les coûts de transport du même conteneur serait de 15 000$.
En y pensant bien, les coûts de transport viennent de prendre une place importante dans la balance des coûts des produits. Si le ratio transport vs prix de vente est trop élevé alors il devient intéressant de se procurer ou de fabriquer ces produits localement.
Malheureusement pour certaines personnes qui sautent de joie en pensant que ce qui a été donné en impartition à l’étranger reviendra, ne doivent pas se faire d’illusions… Ces mêmes pays tentent de renverser la vapeur et font eux aussi de l’optimisation de leur processus pour réduire encore plus leur coûts de production et contre balancer les coûts de transport plus élevés.
C’est pourquoi que je ne crois pas que ce soit un retour en arrière mais bel et bien un ralentissement pour repartir de plus belle…
Un outil simple et performant de gestion d’inventaire
Grâce a un collègue, j’ai découvert un bon outil de gestion d’inventaire et d’entrepôt.
Je considère que c’est une solution idéale pour le petites entreprises. Ces dernières bénéficieront d’un outil convivial et facile d’utilisation. Son module d’importation lui donne une longueur d’avance sur des logiciels plus performant.
Pourquoi moi je l’utilise dans la grande entreprise? Je suis tanné de faire de la gestion sur des fichier Ms-Excel que tous et chacun modifie et ou a un moment on perd le contrôle et ce même lorsqu’on a un système de gestion de contrôle de version de fichier en place.
La version gratuite permet de faire l’utilisation du logiciel par un seul utilisateur. Alors que l’achat de licence supplémentaire permet de mettre cet outil dans un environnent multi-utilisateur.
Le nom de ce petit système InFlow Inventory
Amusez-vous bien!
La Vie est belle!
Une amie photographe a lancée un magnifique livre photos dont le titre est la vie est belle!
Dans son livre des personnalités de tous les horizons rendent hommage à l a vie. Les images qui s’y trouvent sont magnifiques. Ces dernières combinées aux textes elle nous transmettent des émotions et des sentiments.
Je vous le plogue sur mon blogue car je crois qu’il vaut la peine d’être lu.
Autant que sont premier livre le sens de la vie?.
Bonne lecture!
SWOT ou Connaître sa valeur…
J’ai eu mon évaluation annuelle de performance… et je dois dire que je m’attendais
à recevoir la même rengaine relativement au boni… Cette année ce fut un peu différent voici ce qui a été dit… “Tu sais la situation économique nous fait mal…en plus la transaction qui n’a pas fonctionnée” (elle semble avoir fonctionné pour les exécutifs sortants)
Ce qui me surprendra c’est qu’on fait des exercices budgétaire et on semble oublié les réserves pour les augmentations salariales et la bonification. On prend dans la poche de l’un pour satisfaire l’autre… c’est a celui qui a le plus de gueule qui aura le morceau.
Peu importe ce n’est pas le sujet de mon article. Durant mon évaluation de performance que je me suis rendu compte d’une chose que j’ai lu dernièrement relativement à l’exercice de rétroaction ou “feedback”. Cette rétroaction nous en apprend autant sur la personne qui nous la donne. En effet, par cette rétroaction, on peut en savoir plus sur les attentes de notre interlocuteur et la perception qu’il a de nous.
Il y a selon moi trois (3) états dans lequel on peut se retrouver.
- Si cette perception nous plaît alors on est heureux et on n’a pas a s’inquiéter (à moins que cette rétroaction soit malhonnête)
- Si cette perception nous aide à identifier ce que cette personne désire pour l’aider dans ce qu’elle a besoin alors c’est une situation gagnant-gagnant
- Si cette perception est contre nos valeurs fondamentales alors il est peut-être temps de réajuster les attentes avec cette personne.
Dépendant de la rétroaction reçu il faut établir ce qui nous tiens a cœur. C’est pourquoi je considère qu’il faut connaître ses valeurs et établir aussi nos forces et nos faiblesses. Si la personne qui vous donne ce feedback est votre supérieur et qu’il vous force à faire 22 formations pour avoir une vision plus stratégique lorsque vous occupez un poste plus opérationnel… C’est peut-être un coup d’épée dans l’eau… C’est peut être intéressant pour votre développement de carrière, mais si ce que vous aimez c’est être opérationnel, il faut alors rétablir les perceptions car votre motivation au travail (être opérationnel) pourrait être perçue comme de l’entêtement par votre supérieur.
L’Exorciste de l’entretien anuelle d’évaluation…
J’ai fait appel au père Merrin (Max Von Sydow) pour m’aider à chasser ce démon annuel. Voici ce qu’il m’a répondu pour y faire face:
“Especially important is the warning to avoid conversations with the demon. We may ask what is relevant but anything beyond that is dangerous. He is a liar. The demon is a liar. He will lie to confuse us. But he will also mix lies with the truth to attack us. The attack is psychological and powerful. »
Extrême comme position… Par contre, il y a un peu de vrai dans ce qu’il dit… cet événement a un impact sur le psychologique et influencera notre façon d’agir jusqu’à la prochaine évaluation. On voudra s’améliorer durant la prochaine année en s’inscrivant a des formations, séminaires, pour modifier notre façon d’être… et si ce n’était qu’un moyen pour essayer de plaire à son patron et d’entrer dans le moule, en perdant de vue nos qualifications, nos connaissances et nos talents.
Je ne nie pas qu’on puisse évaluer un employé peu importe sa fonction en rapport aux objectifs et aux valeurs de l’entreprise. Par contre, les critères d’atteinte d’un objectif sont laissés à la subjectivité, à l’interprétation des objectifs par l’évaluateur.
Pour moi cette entretien annuelle d’évaluation devrait être l’occasion comme gestionnaire, d’apprendre encore plus sur cet employé, d’observer et d’apprendre ce qu’il est ou qui il est, ce qui le motive dans son emploi actuel, ses objectifs de carrière et apprendre à l’aider à se découvrir et l’atteindre.
Pourquoi vouloir le faire entrer dans un moule et perdre son unicité ?
Qu’en pensez-vous ?
CITOYENS COLLABORONS!!!
Depuis que je suis enfant on me dit que les élections c’est le moment de donner la parole aux citoyens?
Je lis depuis quelques mois maintenant ce qui est fait par notre classe politique en matière de collaboration web, ici et ailleurs. Je suis surpris de voir que notre classe politique provinciale croient que les gens qui sont connecté à internet forment une bande à part ! C’est cette même classe politique qui offrait voilà quelques années de connecter les familles à Internet avec le programme internet aux familles…Rigolo non ?
Sommes-nous de retour au 18ieme siècle ? Est-ce que c’est la cour de Louis XVI qui est au pouvoir ? Un des problèmes de ce bon roi Louis et de sa gang c’est qu’ils n’étaient pas au courant de ce qui se passait chez son bon peuple…Ça lui a couté la peau du cou ! Il semble que ça n’a pas beaucoup changé…
Cher partis politiques au lieu de répondre sur la défensive à nos questionnements ou a des solutions offertes généreusement, prenez donc le temps de répondre aux citoyens adéquatement. Prenez le temps de lire ce qui se dit sur les enjeux et propositions faites par vos citoyens. Adapter vos fameux plans de parti fais en vase clos, qui ne valent souvent pas plus que la feuille de papier sur laquelle ils sont écrit. Ça serait là un changement et dire a vos citoyens « OUI Nous pouvons ! » et surtout « OUI nous vous écoutons… ». Quand je vous entends dire nous allons consulter nos citoyens sur ce qui ne va pas… n’allez pas loin… Ouvrez votre ordinateur et surfer un peu. Vous le trouverez ! En plus, c’est GRATUIT !!
Ouvrez vos yeux, la communauté du Web, c’est Monsieur et Madame Tout-le-monde, de Montréal à Toronto, en passant par Vancouver. Ce sont vos électeurs! (oui je vais m’arranger pour voter même de Vancouver). Ils vous offrent des solutions, des plans d’actions ! En plus de vous donnez l’heure juste sur les faiblesses de vos programmes !
Au WEB citoyens!!! Et Collaborons!
Lettre a M. Jean Charest et le plan numérique
Voici une lettre à M.Charest écrite par la bloggeuse Patricia Tessier. Elle y relate selon moi des faits très pertinents relativement au retard que le Québec prend face au commerce électronique et le deploiement du web au sein de nos entreprises. Selon moi cette situation est effectivement criante et doit être prise en compte rapidement pour éliminer ce retard et devenir des leaders en commerce électronique.
En tant que président du chapitre APICS Montréal et professionnel en amélioration des processus d’affaires je me dois d’appuyer cette lettre. La productivité et l’amélioration de nos entreprises passent et passera par les technologies web et outils de gestion qui utilise les technologies du Web. Que ce soit les portails d’achat, de vente, de gestion des connaissances au sein de nos entreprises ou même le géopositionnement des flottes de véhicules, tout ça utilise les supports numérique.
Donnons nous les outils et le moyens pour y arriver!
Voici la version intégrale de cette lettre :
Monsieur le Premier Ministre,
Tout récemment, l’indice du commerce électronique au Québec et Recherche Internet Canada (RIC) publiaient respectivement un rapport sur l’état de l’utilisation d’Internet au Québec et au Canada. Suite à la publication de ces rapports, force est de constater que le Québec est nettement en retard par rapport au reste du Canada. Par exemple, avec 64% d’internautes à l’été 2007, le Québec était 19 points derrière l’Alberta qui revendiquait la première place avec un taux de pénétration de 83%. Le rapport nous démontre aussi que l’on retrouve un écart de 15% dans les niveaux d’adoption entre les Canadiens anglophones et francophones (82% contre 67%).
Par ailleurs, l’Indice du comerce électronique au Québec rapporte qu’il y a eu pour 3,5 milliards de dollars d’achats en ligne sur un an au Québec (septembre 2007 – août 2008). Toutefois, au moins le tiers de ces achats s’effectue à l’étranger.
- 87 millions de dollars avaient abouti dans les coffres de détaillants ou departiculiers non canadiens en mars dernier (36 % des achats totaux),
- 146 millions de dollars en mai (58 %),
- 103 millions de dollars en juillet (33 %).
Une des raisons principales est qu’il y a peu d’offres québécoises. Uniquement 52% des PME disent avoir leur propre site internet. Et de celles-ci seulement:
- 30% y proposent du service après vente,
- 26% acceptent des commandes en ligne,
- 7% reçoivent des paiements en ligne.
Nous sommes d’avis que les investissements dans l’économie numérique accroissent la compétitivité de l’ensemble des autres secteurs de l’économie et que la préparation d’un plan de développement de l’économie numérique est un impératif pour le gouvernement québécois.
Nous avons identifié quatre priorités :
- Permettre à tous les Québécois d’accéder aux réseaux et aux services numériques et éliminer les barrières liées à la sécurité des transactions en ligne.
- Accroître l’adoption et diversifier les usages d’Internet dans les entreprises, en particulier les PME.
- Garantir la formation aux usages des technologies de l’information dès le plus jeune âge.
- Implanter une gouvernance numérique.
Citoyens
Le gouvernement québécois doit garantir l’accès à tous les Québécois à Internet haut débit partout dans la province. L’Internet haut débit constitue aujourd’hui, comme l’eau, le téléphone ou l’électricité, une commodité essentielle.
Parallèlement, il est critique de renforcer la confiance numérique. Uniquement 47% des adultes québécois considèrent les transactions effectuées par carte de crédit sur Internet très ou assez sécuritaire alors que les problèmes réels de sécurité sont plus rares que dans le cas des transactions hors Internet.
Finalement, des mesures doivent être développées pour assurer la protection de la liberté d’expression des citoyens. Un individu confiant participera activement aux débats politiques et à l’activité économique et contribuera ainsi à la santé de notre société.
PME
Alors que le développement des PME est l’une des clés de notre avenir économique, celles-ci ne disposent souvent pas des ressources ou des connaissances nécessaires pour évaluer les bénéfices qu’elles pourraient retirer des investissements en TIC et non pas, non plus, l’expertise requise pour définir une stratégie cohérente avec leur stratégie d’affaires.
Le faible taux de participation des entreprises québécoises à l’économie numérique et l’exode des dollars d’achat des Québécois sont inquiétants pour l’avenir de notre économie. Il apparaît primordial que l’offre de services numériques doit être renforcée au Québec. Pour atteindre cet objectif, les entreprises doivent trouver un environnement favorable au développement des outils numériques notamment par une sensibilisation accrue des PME et une aide financière à l’investissement.
Éducation
L’introduction d’une formation, dès le plus jeune âge, répond à la nécessité de donner, à chaque enfant, des compétences qui sont devenues aujourd’hui indispensables pour réussir tant au niveau professionnel que social.
À cet égard, il est pertinent de garantir la disponibilité d’un accès à Internet haut débit et WiFi dans chaque école et université, d’améliorer les synergies des universités avec les entreprises en général et les entreprises de haute technologie en particulier et de créer des incubateurs d’entreprises.
Finalement, la numérisation accrue et la disponibilité en ligne des contenus académiques et leur libre accès sont des incontournables.
Gouvernement
L’efficacité des actions « numériques » du gouvernement passera par une mise en œuvre concertée et non par un écartèlement des efforts et des budgets entre différents ministères. Il nous appert critique que ce rôle soit regroupé sous un seul ministre avec une capacité d’agir de façon transversale.
L’administration publique doit moderniser l’accès au travail parlementaire en implantant des outils additionnels d’information, de transaction et d’échange. La transparence doit être à l’ordre du jour et le gouvernement doit ainsi démontrer qu’il a confiance au fait que les citoyens sont d’importants contributeurs à notre système démocratique.
Il est aussi impératif que le gouvernement québécois soit un porte-parole de la neutralité du net et s’assure qu’Internet demeure ouvert et accessible à tous.
Finalement, il est important que le gouvernement provincial supporte et guide les gouvernements municipaux en matière de politiques numériques. En effet, ces derniers sont des acteurs importants du développement de l’économie numérique locale.
En conclusion, sans actions claires du gouvernement, nous croyons que le Québec court le risque de maintenir son retard et d’être laissé pour compte dans l’économie de demain. Nous vous demandons de planifier, au plus tôt, un exercice de réflexions et un plan de mise en œuvre pour stimuler l’économie numérique au Québec afin que nous puissions, non seulement rattraper le retard, mais devenir une nation qui prendra sa place et se distinguera dans la nouvelle économie.
Veuillez agréer, Monsieur Charest, nos salutations les plus distinguées.
Regroupement YulBiz Montréal
Patricia Tessier – Consultante, Stratégie Marketing & Internet
Hugues G. Hénault, ing, M.ing, CPIM
Je vous promets…
On voit ces leaders partout. Ils se pavanent, ils tentent de faire passer leurs idées devant des millions de gens durant des débats télévisés, dans des entrevues. Tout ça pour passer un message qui doit nous toucher et nous faire avancer comme société.
Bizarrement en y réfléchissant bien je crois que c’est pareil dans la gestion d’entreprise ou des banques. On n’a qu’a regardé ce qui se passe présentement sur les marchés financiers…
C’est en discutant avec un monsieur rencontré par hasard voilà bientôt deux week-end à l’Applefest de UBC. Il me disait que lorsqu’il était en France, il achetait des entreprises en difficultés les remettaient sur pied pour ensuite les revendre. Ce qui me frappait dans ses histoires c’est que les “leaders” de ces entreprises avaient tous promis quelques choses… Pour leur actionnaires, pour leur employés et n’avait pas atteint leurs objectifs. Est-ce qu’ils ont perdu la vision de leurs objectifs? Qu’est-ce qui fait que ça n’a pas fonctionné et qu’un homme comme mon monsieur dans l’autobus réussissait? Est-ce une question de leadership ou de gestion ?
Selon moi, dans certains cas ces leaders n’étaient tout simplement pas prêts à mettre l’épaule à la roue et prendre les décisions essentielles, parfois difficiles qui auraient permis à tous d’avancer et de passé de bon à excellent. Ils ont laissé allée les choses sans revoir leurs façons de faire ou leurs façons de voir leur monde.
En plus, il semble que certains de ces « leaders » ont tenté de satisfaire le bien commun tout en passant Go et récoltant 200$. Ces façons de faire ont un impact positif à très court terme. Ils ont satisfait les actionnaires mais hypothéqués l’entreprise et retardé dans certains cas l’expansion de celle-ci.
Je serai donc tenté de dire que c’est la gestion qui est en cause et non pas la vision. Je m’avancerai aussi pour dire qu’il faut avoir une balance entre la vision et le mode de gestion. Après ma discussion avec le monsieur rencontré dans l’autobus, ou des cas comme le redressement de GE par Jack Welch, font ressortir une chose…le sentiment d’urgence. Les gens impliqués dans ces redressements avait bel et bien une vision, mais avait avant tout un sentiment d’urgence. Ils devaient sauver l’entreprise en prenant des décisions difficiles et de faire les changements requis pour retrouver productivité, rentabilité et profitabilité.
En fait, le «leader » doit se transformer en gestionnaire de crise, et prendre les moyens qui sont profitable à moyen et à long terme en se renouvelant constamment.
Malheureusement, mes observations des dernières années, me laisse souvent pensé qu’on lance des initiatives d’améliorations sans les poursuivre et on oublie de revoir les éléments collatéraux touchés par ces changements. On réagira quand l’entreprise fera face a un mur et qu’il sera peut-être trop tard pour se réinventer.
Dora’s leadership…
Elle passe par des épreuves mais à toujours en tête l’objectif final et réussi quand même en court de route à amasser suffisamment d’étoiles pour réussir et continuer son chemin. Enfin elle reconnait les efforts de son équipe en leur demandant ce qu’ils ont appris.
Les nouveaux outils de saisies de données…
Depuis 5 ans je n’avais pas été en contact avec les unités de saisies de données (lecteur de code barre, RFID, écran tactile, etc). J’ai été agréablement surpris de voir l’unité MC9090 de Motorola (anciennement Symbol). Cette unité fonctionne avec la version Windows Mobile 5.0. Pour un pseudo geek c’est fantastique. Rapidement j’ai remis mon chapeau amélioration de processus… cet interface ajoute selon moi beaucoup trop a l’usager qui a à faire l’inventaire physique d’un entrepot. Accès Wi-Fi a l’internet, au courriel, même MSN Messenger peux fonctionner sur cet ordinateur de poche.
La question se pose, qu’est ce qui est acceptable de laissé a un commis d’entrepôt, qu’est ce qu’on devrait lui permettre de faire avec cet outil.
Selon moi, toutes les fonctionalités qui ne sont par liés directement au travail de l’employé devrait être inactive. Par contre, ce que j’ai vu m’a laissé entrevoir une panoplie de solution de gestion d’entrepôt et de logisitique comme l’interaction avec l’usager via messenger pour lui donner des changement de dernière minutes. Pour les usagers qui sont sur la route, l’utilisation d’une base de donnés conviviale est drôlement intéressante, quand on pense qu’il y a huit ans nous devions garder l’information dans un fichier texte avec peu d’espace disponible et ensuite programmer l’interface de synchronisation.
Je me rends compte en surfant sur le web que peu d’intégrateur existe et que les solutions demeure limités. Je me demande a quand le système intégré de gestion totalement web qui permettra de faire notre gestion de personnel, de clients et de commandes via nos smartphones, PDA et autres.
A moi maitenant de travailler avec les usagers pour leur expliquer pourquoi il ne pourront accéder a facebook via leur lecteur de code barre…
Et vous dans le domaine avez vous déjà fait face a ce genre de situation?