Archive for the ‘Inspiration’ Category

LE future de la chaine d’approvisionnement.

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Je viens de trouver ce matin cet article sur le site Supply Chain Digest.

J’ai décidé de le mettre ici, car je le trouve intéressant et qu’il risque de générer des chroniques dans les prochaines semaines.

Supply Chain 2015 de Dan Gilmore.

Je suis d’accord avec l’auteur sur sa vision, par contre j’irais un peu plus loin au point de vue des logiciels gestion basé sur le web. Je crois sincèrement que la tendance sera vers une plus grande collaboration en utilisant les outils du Web collaboratif.

LA NEUROSCIENCE AU SERVICE D’UNE MEILLEURE GESTION?!?

Lors d’un de mes derniers voyages, j’ai mis la main sur un magazine nommé strategy + business. Je ne connaissais pas cette publication et je dois dire que les articles sont très intéressants.

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Le thème du magazine était “The Talent Opportunity”.

Un des articles qui m’a beaucoup intéressé est celui de David Rock dont le titre est Managing with the Brain in Mind.

Dans son article, Rock débute par présenter des études qui démontrent que le cerveau humain est un être social avant tout et lorsqu’il est rejeté ou qu’il fait face à de nouveaux éléments il réagira à cette “menace ou récompense” différemment. 

De plus, il semble  que la hiérarchie des besoins d’Abraham Maslow  soit à revoir. En effet, Maslow place la reconnaissance et l’appartenance sociale au centre de sa pyramide, alors que des études démontrent que le cerveau assimile les besoins sociaux avec la survie, par exemple, avoir faim ou être ostracisé active des réponses neuronales similaires.

De plus, comme le mentionne l’un des chercheurs qu’il a interviewé le cerveau humain lorsqu’il est au repos implique une réflexion sur soi et sur les autres.

Ne me dites pas qu’il ne vous est pas arrivé de vous dire “j’aurais donc dû dire ça” ou de réfléchir à ce que l’autre vous a fait.

Selon lui, les réactions du cerveau face aux “menaces et récompenses” obligent  les gestionnaires à revoir leurs approche pour obtenir le meilleur de leur employés.

Je dois avouer que c’est là que son article devient intéressant.

Il semble que les recherches sur la nature sociale du cerveau donne une autre pièce au ce casse-tête. Il semble que cinq qualités particulières, permettent aux employés et cadres d’entreprises de minimiser la réponse à la menace et  de permettre une réaction de récompense. Ces cinq qualités sont le statut social, la certitude, l’autonomie, l’affinité et l’équité. En anglais l’auteur leur donne l’acronyme

SCARF – pour status, certainty, autonomy, relatedness, and fairness.

Pour l’auteur, ces qualités aideront à prévenir l’exposition à un dysfonctionnement organisationnel. Dans son article il donne des exemples sur chacune des qualités.

En résumé: clip_image001

Statut

Nous somme biologiquement programmé pour prendre soin de notre statut, car il favorise notre instinct de survie. C’est pourquoi en comprenant le statut comme un élément clé de gestion, il peut aider les gestionnaires à éviter des pratiques non productives.

Certitude

L’incertitude cause une tension, un chaos chez les individus c’est ce qui fait que dans certains cas des gens perdent leur moyenne face à des changements, car ils ne savent pas ce qui les attend.

C’est pourquoi, selon l’auteur, que les gestionnaires doivent créer une perception de certitude afin de développer une confiance et d’avoir des gens dédier. Partager les plans d’affaires, les stratégies, les raisons pour ces changements sont des moyens d’augmenter  la confiance des individus.

Autonomie

Tant et aussi longtemps un employé peut prendre ses propres décisions sans avoir trop de supervision et que son stress reste en control alors tout vas bien. S’il sent une menace alors c’est là que ca déraille.

L’auteur propose donc que le gestionnaire offre une latitude dans les choix que feront ses employés. Que ceux ci participe à l’organisation de leur travail diminue le niveau de stress de l’employé.

Affinité

Une équipe efficace doit partager des affinités. Il est donc important comme gestionnaire de choisir les membres afin d’éviter les dysfonctionnements. Établir une relation de confiance ne peut être forcé ni contraindre la bonne volonté des gens. Les relations se développent avec le temps et grâce à des interactions répétées.

Équité

Dans une organisation la perception d’iniquité crée un environnement dans laquelle la confiance et la collaboration ne peuvent survivre.  On suggère, encore une fois, d’être transparent et de partager l’information lorsqu’elle est disponible.

Enfin, ce que je retiens de cet article.

Le cerveau réagit négativement aux menaces et comme gestionnaire chaque action ou geste posé feront des gens heureux et d’autres insatisfaits. C’est évident!

Par contre ce qui l’est moins c’est comment les gens relient leur satisfaction à leurs relations interpersonnelles. Ce n’est pas qu’une relation d’affaires. Si on veut être heureux dans notre emploi notre cerveau doit être bien.

Combien de fois vous êtes vous fait dire:

C’est pour toi que je le fait!

Ou encore entendue dire…

“Tiens, tiens, nous n’avons pas d’augmentation, mais le CEO lui a passé GO et récolté son boni de x millions!”

Humm… je me demande si ce n’est pas pour ça qu’on parle alors d’état d’âmes.

Je crois qu’effectivement ces états d’âmes peuvent aider ou nuire aux succès d’une entreprise.

Écoutons notre cerveau, il nous parle.

CRÉATIVITÉ à L’état pur…

Pranav Mistry et le 6ieme Sens…

cliquez le lien… ce gars est vraiment un inventeur de génie.

http://www.ted.com/talks/pranav_mistry_the_thrilling_potential_of_sixthsense_technology.html

Bravo

LE CHEF D’ORCHESTRE…

J’ai trouvé ce petit vidéo intéressant. Pour moi un chef d’orchestre est quelqu’un de fascinant. Il transmet par ses gestes et son non verbal, sa passion de la musique et ce à tout un groupe de musicien tout aussi passioné que lui, qui livre la marchandise à chaque prestation.

N’est-ce pas le but de tout bon leader?

 

Gestionnaire Héroïque ou gestionnaire irritant?

 

Avez vous dans votre entourage un collègue Supe-Héros? du type Superman, Mc Gyver? qui pour lui les situations désespérante (pas désespéré) semblent être son mode d’opération?

Avez-vous l’impression que votre organisation fonctionne grâce à ces super-héros?

Avez-vous l’impression que ces gestionnaires seront prêt à tout pour atteindre leur fin?

Voyez-vous votre responsable des communications, lors d’entrevues aux médias défendre ces politiques douteuses de gestions héroïque et d’avoir honte d’entendre les réponses fournies?

Est-ce que votre organisation récompense ce genre de gestionnaires?

Je vous entends répondre avec une certaine réserve:

OUI!!

C’est vrai, j’en conviens y a rien de vraiment excitant quand tout tourne dans l’huile. Par exemple  quand une commande passé par un client est standard, entre dans les temps de livraison standard et qu’elle est installé de façon standard et qu’en plus il a payé le prix standard pour le produit standard.

C’est beaucoup plus intéressant d’entendre le directeur de la santé publique ne pas être capable de nous dire à quelle date exactement le vaccin contre le H1N1 sera prêt, et qu’en plus il en ajoute en nous disant au combien il est important de se faire vacciner et démarre une polémique dans les médias sur pourquoi se faire ou ne pas se faire vacciner… M. le directeur on veut une date! pas compliquer on arrête les mélodrames et donner nous une date! à partir de la Bibi fera son choix… Je m’égare! En fait pas tant que ça, pensez-y… s’il nous avait fourni une date, on n’aurait tous pu prendre rendez-vous avec nos médecins ou mieux, on aurait pu planifier les endroits ou les gens pourrait recevoir le vaccin! Ça s’appelle planifier ça M. le Directeur!

Ça met du piquant dans votre emploie quand le super héros (S.H) se pointe et te dit:

S.H. :- Ou est ma commande? 

Vous: – Heu?! ta commande passé hier?

S.H: – Non celle d’il y a plusieurs semaines!

Vous: – Attend!? (disque dur de l’ordi tourne, loggue dans le système de commande)

S.H: – C’est long!

Vous: (lève les yeux au ciel) – Ok! voilà la seul commande est pour l’item widget234 que tu as passé vendredi dernier c’est ca?

S.H: – Euh!? oui c’est ça! (vendredi dernier…oups)

Vous: – Tu sais Clark, comme je te disais dans mon courriel te confirmant la prise de commande ce fournisseur a un délai de livraison de 3 semaines en moyenne. 2 semaines de production et une semaine pour que le matériel arrive du Mexique.

S.H: C’est inacceptables!! (hurle-t-il) monte ça plus haut!

Vous: Que crois-tu que j’ai fait!

S.H: Je vais monter ça plus haut!

Vous: Hey Clark! depuis quand savais-tu que tu avais besoin de ces items?

S.H: 6 semaines

Vous: – tu n’as pas eu envie de passer ta commande a ce moment là? ou nous fournir ta prévision? on aurait pu prévenir le fournisseur!

S.H: (yeux de merlan frit) Ce n’est pas le point, le point c’est que j’ai besoin du matériel!

Vous: change ton plan…

Notre ami le super héros va mettre son costume de super-héros:

  • faire des appels, envoyer des courriels en copiant le plus de monde possible afin de démontrer comment ses efforts héroïques ont portés fruits.
  • Il dramatisera la situation en impliquant le nom de son clients et l’importance de son projet.
  • mettra l’emphase sur le présent
  • essaiera de faire des ententes juteuses ou secrète (tiens ça me rappelle des candidats à la mairie de Montréal)
  • criera sur tout les toit comment il est important

Et comble de malheur, votre fournisseur réussira à le calmer en coupant une journée sur le délai de livraison… cette journée que lui aurait utiliser pour être le héros dans son entreprise.

Irritant n’est-ce pas?

Vous me dites:

Hugues comment faire pour arrêter ça?

Malheureusement, je n’ai pas encore trouver la Kryptonite…

Selon moi tant et aussi longtemps que l’organisation dans laquelle vous êtes continuera de reconnaître ces super héros comme les gens les plus importants de l’organisation, vous vivrez cette situation.

Par contre,j’ai toutefois expérimenter le processus AIA! (comme dans Batman, les Pouf! plaf! pow!):

  1. Apprentissage: Tu te fais prendre une fois
  2. Identification: Tu identifies le super héros
  3. Action: Tu valides avec lui ses besoins à toute les semaines (ou a une fréquence plus élevé si nécessaire)

Je vous assure qu’en faisant ça vous venez de couper les ailes à notre ami le super héros. Vous êtes en train de le guider dans une meilleure planification de ses besoins… encore une fois “ça s’appelle planifier ça M. le Directeur!”

 

Inspiration du moment:

Masters Of Barely Anything?

Henry Mintzberg on heroic managers

“Nenikékamen” POUR UNE BONNE CAUSE…

Sports%2F2005%20Sports%2FCanada%2FQuebec%20City%20Marathon-QBE0631 Selon la légende Pheidippides, un messager Athénien a été envoyé pour demander des renforts à Sparte, lors de l’invasion par les Perses de la Grèce. Il a couru 240 km en deux jours pour ensuite faire 42 Km de Marathon à Athènes pour livrer le message suivant:

Nenikékamen!… 
(traduction libre
“Nous avons gagné!”. )

La mythologie nous apprend aussi qu’il est ensuite tombé raide mort… Pauvre gars!

Vrai, faux cette légende? Je n’en sais rien

Il n’en reste pas moins que j’ai décidé de faire un marathon, pour pouvoir dire à la fin:

“Nous vaincrons!”

Comme Pheidippides, qui courait pour les Athéniens, j’ai décidé d’adopter une cause moi aussi et je m’associe à la BC Cancer Foundation

Loin de moi l’intention de faire une comparaison simpliste mais pour avoir vu des gens de mon entourage en souffrir, le cancer est une maladie qui devient un marathon pour sa vie. Chaque moment compte.

C’est pourquoi, en m’associant à cette cause, je veux que chacun de mes pas devienne un moyen d’aider les gens qui en souffre ou d’aider dans les efforts de recherche afin que ce marathon pour la vie soit moins pénible.

Je sollicite votre soutien pour ce défi, je serai vos muscles, vos jambes, votre cœur, vos poumons pour qu’ensemble nous puissions dire “Nous vaincrons!”.

Le marathon Royal de Victoria aura lieu le dimanche 11 octobre.  Je compte le terminer en moins de 4 h 30.

Comme vous pouvez le constater sur la photo ci-haut j’ai couru des 5 Km, 10 Km et demi-marathons, maintenant je m’attaque à un autre défi, parcourir 42 Km.

Le lien suivant vous amène sur ma page de commandite.

Je vous remercie tous de votre soutien et souhaite que vous serez virtuellement avec moi le 11 octobre prochain!

ACTE DE FOI

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Je sais, j’ai été négligeant. Je n’ai pas écrit depuis longtemps. Les sujets ont été nombreux:

  • achat du Canadiens par les Molson et Bell.
  • le retour de Tim Horton au Canada
  • la St-Jean Baptiste vécue sur la côte ouest
  • l’ouverture de l’entrepôt…

Des sujets tellement palpitant que tout a été dit…

Je m’excuse donc de ne pas avoir été présent ces dernières semaines…

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Ma chronique d’aujourd’hui porte sur l’Acte de foi. Je ne parle pas de la prière de l’Église Catholique. C’est un ami avec qui j’ai fait de la randonnée ce lundi qui m’a fait réfléchir à ce sujet…

Je parle du phénomène par lequel on fait confiance sans trop savoir pourquoi. Que tout est fondamentalement honnête.

Je m’explique.

Un pont, un viaduc: vous ne vous questionnez pas à savoir s’il est solide ou s’il vous tomberas dessus.

Un médecin: vous ne le soupçonnez pas d’avoir consommé de la drogue avant votre chirurgie.

L’employé de restaurant: vous vous dites qu’il s’est bien lavé les mains avant de vous servir votre café.

Vous comprenez le principe?

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Je reviens donc à la randonnée. Nous somme quatre copains de travail qui désirent monter le Ground. 

Un d’entre eux, homme fin quarantaine, qui aime beaucoup Vancouver. Décide, comme beaucoup de gens, d’essayer la montée du Grouse Grind.   C’est parti!

Il débute l’ascension 10 minutes avant nous, confiant qu’il est en mesure de faire la randonnée. (10 minutes parce que j’étais un peu en retard)

Sa perception de la randonnée provient de commentaires de gens disant que c’est difficile ou  disant qu’il ne réussirait pas.

Je débute ma randonnée et le rattrape une quinzaine de minutes plus tard… il est là assis sur une souche et attends. Il dit:

Je ne peux pas… I’m done! je redescends

Je ne serai jamais capable!

C’est à ce moment là que son acte de foi envers lui-même a pris le bord.

  • Il n’était pas réaliste de s’attaquer à cette randonnée?
  • sa condition physique l’en empêchait?

des pensées qui lui ont surement traversé l’esprit et je reste poli.

J’ai laissé les deux autres copains poursuivre leur chemin et je suis resté avec lui.

Je lui ai demandé quel était son but?

Il voulait monter le Grouse, vivant!… j’ai dit OK! let’s do it together!

Ses yeux sont devenus comme des billes… Il pouvait dire non et redescendre et attendre 1 heure dans la voiture ou marcher devant moi et prendre un peu plus d’une heure à son rythme. Il a décider qu’il pouvait le faire.

Mon acte de foi envers ses capacités devenait la sienne, s’il avait dit non je retourne, j’aurais été déçu. Il est capable de mettre un pied devant l’autre et de recommencer pour les 900 m restant.

Il a réussi en 1h45 minutes. J’ai attendu. Je l’ai encouragé. Il l’a fait à son rythme.

Il était heureux et fiers et je l’étais aussi pour lui!

Son acte de foi a été récompensé et la mienne envers lui aussi!

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Ce qui me frappe dans toute cette réflexion est lorsqu’on se retrouve face a quelqu’un ou quelques choses qui s’écrase ou qui semble malhonnête on dit qu’il est de mauvaise foi et on est déçu.

Coïncidence? je ne crois pas.

Enfin, je ne deviendrai pas paranoïaque pour autant. L’acte de foi, nous réserve de bonnes et de mauvaises surprises.

C’est la vie! Alléluia!

P.S: Bonne fête Canada!

BIG PICTURE…

Dernièrement, un consultant me reprochait d’être sarcastique et de ne pas avoir une vue d’ensemble, la big picture… C’est rigolo provenant de quelqu’un qui n’a interagi avec moi que de façon ponctuel et qui n‘a aucune idée de ce que je fais de mes journées. Entre vous et moi je pourrais être sur un 18 trous et courir un marathon, ils ne le sauraient pas.

Pour ceux qui me connaissent bien, savent que mon professionnalisme et mon sens du travail bien fait m’amène à me lever la matin et me rendre au travail.
Écrire cet article est sans doute donner trop d’importance à ses commentaires. Par contre, il me donne un bon moyen de faire une introspection rapide sur les actions entreprises ces dernières semaines.

Le big picture
Tout d’abord, qu’est-ce qu’il y a dans ce big picture? Une fin de projet, un démantèlement des infrastructures et un redéploiement. Des gens qui perdront sûrement leur emploi et un consultant sans emploi…

Ce que mon ami le grand consultant oublie c’est que dans le big picture, c’est moi qui a élaboré le plan de la chaîne d’approvisionnement. Que ce plan suit son cour et que je peux justement respirer être créatifs, proactif et non réactif.

 
J’ai l’impression que mon ami le consultant s’assoit sur une montagne seul et soudainement comme St-Paul il est illuminé, et qu‘il voit tout… Ce qu’il entends surement ces jours-ci c’est le bruit du vent entre ses deux oreilles.

Voici ce que je lui suggère:
A moins d’être Dieu, ce n’est pas parce que tu es assis au sommet de la montagne que tu vois ce qui se passe en bas … Ta big picture est déformée, elle est trop petite. Ça te prends soit un télescope, soit des jumelles ou bien tu descends pour voir d’un peu plus près. Il y a aussi l’option de téléphoner à quelqu’un en bas…cette dernière biaisera en partie la picture car se sera sa big picture à lui. Descendre devient selon moi l’option et permet de voir quels sont les éléments qui doivent être regarder pour avoir une meilleure idée des détails de notre picture.

Ensuite tu remontes un peu et tu regardes ce que ces détails apporte dans l’ensemble de ta big picture, tu redescends ailleurs et tu refais le même stratagème. Après avoir vu toute la picture, tu remontes et tu peux alors avoir une vu d’ensemble réaliste en ligne avec ce qui se passe vraiment dans la ville.

 

Sarcastique moi?

Pour ce qui est du sarcasme, je serai franc je ne sais même pas ce que ça veut dire… Alors allons voir la définition.

Sarcasme, nom masculin
Sens Moquerie ironique et méchante. Synonyme ironie Anglais sarcasm

Ça ne m’aide pas beaucoup plus, je me moque peut-être, lorsque professionnellement je démontre par des faits qu’une décision prise est absurde?
Curieusement pour moi cette attitude est directement en ligne avec celle de l’entreprise soit de «challenger le statut quo»

Ironie maintenant , nom féminin
Sens Raillerie qui consiste à dire le contraire de ce que l’on souhaite faire entendre.

Malheureusement pour lui, ce n’est pas de l’ironie que je fais, je le dis directement…. Peut-être faut-il que je sois ironique, alors le message serait mieux ficelé!?

Je sais, je n’ai pas la langue dans ma poche et j’ai tendance à appeler un chat un chat et non pas félin de petite taille, au pelage soyeux, généralement domestique. Ce que j’apprend des commentaires de mon ami consultant c’est qu’il est sensible et que je devrai dorénavant utilisé des approches soyeuses pour passer mes messages (c’est ça du sarcasme?)

Enfin, je vous laisse avec mon ami Dilbert, je crois bien que mon consultant est comme Dogbert, il prend ce qu’il veut et l’utilise comme il veut…

 

 

Vous savez que finalement cet article lui donne peu d’importance, par contre il me donne  à moi une meilleure vue d’ensemble de ce consultant (son big picture)

Randonnée D’HIVERTISSANTE…

Après une semaine éreintante, j’ai paressé et je me suis levé vers 10h.

L’heure avance, en ce 30 Mai, il fait 27 degrés à North Vancouver.  Le soleil brille, c’est une journée fabuleuse pour faire de la randonnée.

Il me fallait trouver un lieu près de la maison pour ne pas perdre trop de temps pour m’y rendre. J’opte pour le Mont Seymour, la montagne derrière la maison.

Voici ce qui m’y attendait…

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de la neige au bas, un bon 5 centimètres…

J’hésite… je me passe la réflexion suivante:

c’est une randonnée en raquettes pas en bottes…

Je commence tranquillement et me dit que c’est de la folie de monter là-haut. Surtout que je ne connais pas beaucoup la montagne et  les conditions actuelles.

Finalement, je croise un randonneur qui en redescend. Il me rassure en me disant que c’est superbe. Il y a de la neige, par contre elle n’est pas un obstacle majeur.

Je débute mon ascension vers le sommet, je trouve ça un peu surréaliste… 12 cm de neige par endroit, 23 degrés au départ de la randonnée, je ne porte qu’un t-shirt et un short.

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Au sommet d’une pente, j’aperçois ce skieur qui en profite…

Lors de ma montée, je croise planchistes, randonneurs à pieds et en raquettes, tous me confirment que la journée est superbe et que je peux faire l’approche du sommet par sa face. Intéressant, j’ai bien hâte de voir ça.

 

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Sur la photo ci-haut nous ne parlons pas de 12 cm mais près de 2 à 3 mètres de neige et ce jusqu’au sommet. Vous ne me croyez pas… regardez ces arbres, ils sont ensevelis sous la neige… je marche parmi les sommets de ces conifères.

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La neige est mouillée et dure, par endroits elle est un peu plus molle, mais n’empêche pas d’avancer.

 

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Panneau d’avertissement

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Vue du Mt. Baker(É-U)

 

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Vue du premier sommet du Mt. Seymour

Lorsque j’arrive au premier sommet, j’ai une vision un peu irréelle. Au bas, dans la vallée je vois des tentes, une dizaine de tentes alignées avec un groupe d’alpinistes qui pratiquent l’escalade de glace, ainsi qu’un groupe de planchistes qui fabriquent une rampe de neige pour faire des figures acrobatiques. Je vous rappelle que nous sommes à moins de 30 minutes du centre-ville de Vancouver, et qu’on joue au golf depuis plusieurs semaines déjà. 

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Je poursuis mon ascension vers le second sommet, avec les pieds un peu mouillés et la jambe égratignée ayant enfoncé jusqu’à mi-cuisse.

Mon arrivée à 1455 m se fait en 1h48 minutes… voici en quelques images ce qu’on y voit…

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Point de démarcation 1455 m

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Le roi de la montagne!

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Vue vers le Nord Est

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Vue vers le Sud-Est avec Deep Cove en contre-bas

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Vancouver

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Fier! très fier!

Après une vingtaine de minutes de pause, je débute la descente et regrette de ne pas avoir amené un crazy carpet ou des mini skis… Sans guêtres, la neige entre par le haut de mes bottes et je me retrouve rapidement les pieds trempés.

En redescendant, je recroise les planchistes et skieurs que je capte en pleine action.

 

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A certain endroits j’ai envi de m’asseoir et descendre sur les fesses… hors de questions la neige est comme du papier sablé.

 

Les faits

Mt Seymour-1

Distance: 7,1 km

Durée: 3h20 min (pause de 35 minutes)

Altitude: 1455 m

Élévation: 424 m

Difficulté: Intermédiaire

Équipement: pôles, bottes de marche, sac à dos d’un jour

creativité simplifié – WOW

Une amie m’a envoyé ce lien sur Facebook- Merci

Voici un superbe exemple de créativité…

Je suis fasciné par l’esprit humain! WOW!

 

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