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De quoi être fier…ou le recyclage de matériel
Mon projet actuel m’a permis de faire une répétition générale de ce qui se passera dans 327 jours.
Le déploiement du matériel n’est pas vraiment ce qui m’inquiète pour le jour J. Ce qui m’inquiète est vraiment la récupération, le recyclage et la disposition du matériel qui sera utilisé.
C’est pourquoi cette répétition était tellement cruciale.
Vous comprendrez, qu’une fois un événement terminé nous devons sortir de l’endroit au plus vite pour laisser la place aux événements réguliers qui souvent sont subventionnés par le compétiteur. Cette situation fait en sorte que nous avons reçu à l’entrepôt du matériel sous toutes sortes de formes comme le montre la photo qui suit.
Je serai franc ça m’a un peu découragé. Par contre, je me suis dit qu’il y a quelque choses à faire pour récupérer et recycler ces câbles.
J’ai donc acheté des sacs de type “Ziploc” et attendu que les événements se terminent pour faire appel à la cavalerie… Est-ce qu’ils répondront à l’appel? C’était ma plus grande crainte. Seraient-ils trop nombreux? J’ai donc envoyé mon courriel en demandant l’aide de toute l’équipe!
Heureusement pour moi, une quinzaine de membres de l’équipe ont répondu a mon appel… en moins d’une journée nous avons utilisé plus de 2000 sacs et inventorié, nettoyé les items réutilisables pour le jour J. Sans leur aide et leur esprit d’équipe, j’y serais encore dans 2 mois…
J’ai voulu immortaliser ce moment sur pellicule car il sera pour moi un moment qui restera ancré dans ma mémoire, comme un des moments fort de ma carrière.
Merci mes ami(e)s, Thanks my friends!
Houston, We’ve Got A Problem…
Cette fameuse citation de Jim Lovell sera le point de départ de mon billet, et d’une mini montée de lait.
J’en ai marre!! oui j’en ai marre pouvons-nous appeler un problème un problème?
J’ai l’impression que les gens autour de moi se mettent des lunettes roses quand il me dise
Hugues n’appelle pas cette situation un problème! c’est une opportunité!
Moi: de me mordre la lèvre supérieur pour refreiner un cri primale!
ou
Hugues ce n’est pas une problème, appelle ça une occasion!
Hugues it’s not a problem it’s an issue or a concern!
Moi: de refreiner une envie folle d’utiliser le fameux F word ou de bâtir une cathédrale!
Hey groupe! dans le monde dans lequel moi je vis si ma voiture ne démarre pas j’ai un problème, quand le gaz monte en flèche j’aurai un problème de cash flow, quand je perds 5-0 au hockey j’ai un problème avec l’équipe devant moi ou qu’il réside dans la façon que je goal (garde les but), quand ma fille est malade et que je ne peux pas aller la chercher à la garderie j’ai un problème! Si mon imprimante plante quand je dois remettre mon rapport j’ai un problème. Si un procédé ne fonctionne pas j’ai un problème!!! Vous avez compris le principe? J’espère!
J’ai fait une petite recherche pour vous autre! J’ai regardé la définition du mot problème
Définition selon l’internaute
Sens 1 Question à résoudre de façon scientifique. Synonyme question
Sens 2 Situation complexe, ennui. Ex Il a de gros problèmes. Synonyme souci
Définition selon le grand dictionnaire
Situation non désirée dont la cause fondamentale d’un ou de plusieurs incidents existants ou potentiels est inconnue.
Je me suis dit que peut-être mes amis Anglos ont une autre définition…
Définition selon thefreedictionnary.
prob·lem (prblm)
n.
1. A question to be considered, solved, or answered: math problems; the problem of how to arrange transportation.
2. A situation, matter, or person that presents perplexity or difficulty: was having problems breathing; considered the main problem to be his boss. See Usage Note at dilemma.
3. A misgiving, objection, or complaint: I have a problem with his cynicism.
adj.
1. Difficult to deal with or control: a problem child.
2. Dealing with a moral or social problem: a problem play.
Voyez-vous quelque part le mot opportunités? occasions?
Allons plus loin…
Grand dictionnaire
Opportunité: Qualité de ce qui est opportun, de ce qui arrive à propos, ou qui est favorable
thefreedictionnary
op·por·tu·ni·ty (pr-tn-t, -ty-) n. pl. op·por·tu·ni·ties
1.
a. A favorable or advantageous circumstance or combination of circumstances.
b. A favorable or suitable occasion or time.
2. A chance for progress or advancement.
Hey mon char ne démarre pas!! c’est avantageux? c’est à propos? oui si j’étais pour me rendre au travail et avais un accident!
Le procédé ne fonctionne pas, c’est opportun j’ai 500 gadgets à livrer pour demain!! super opportun!
Vous allez me dire,
Hugues c’est comme ca que mon patron m’a demandé de lui présenter mes problèmes!
Soit que votre patron, collègue ou partenaire est déconnecté du plancher des vaches. Il verra bien que vous avez un PROBLÈME et s’il ne le connait pas alors il ne pourra pas savoir ce qui en retourne et voir comment il peut vous aider.
Ce que votre patron, collègue ou partenaire vous demande c’est de lui fournir ce que vous avez fait ou comptez faire pour résoudre ce problème. C’est ça la demande!
C’est aussi pour ça qu’il existe des techniques de résolutions de problèmes, elle ne s’appelle pas des technique de résolution d’occasions ou d’opportunités!
Enfin, Jim Lovell n’a pas dit “Houston, I have an opportunity!” il a dit “Houston we’ve got a problem!” En d’autre mots “Hey les boys j’ai un problème, vous êtes aussi bien de vous attelez pour m’aider sinon je crève!”
Donc désormais, pouvons-nous appeler un problème un problème?
Excusez-là!
L’innovation et la crise…
Depuis plusieurs semaines maintenant on entend parler de la crise et de ses impacts sur nos entreprises et nos vies.
Ce tsunami a touché des géants auxquelles on ne s’attendait pas Toyota, Honda, Motorola, GE, Microsoft et d’autres chez lesquelles, en observant leur modèle d’affaires on se doutait bien qu’ils éprouveraient beaucoup de plus de difficultés que les premiers comme Ford, GM, Chrysler, et Nortel.
Ce qui me frappe dans cette situation c’est le cas de Toyota, Motorola, GE qui ont été cités dans des ouvrages comme étant des “pionniers” en amélioration continue et en réingénierie, et qui aujourd’hui semble avoir perdu leur repères.
Vous me direz
Hugues ça n’a rien avoir…c’est à cause des mauvaises décisions financière! du contexte économique!
Hum!.. peut-être par contre la situation est telle que les entreprises doivent trouver des moyens de couper leur coûts et augmenter leur revenus pour retrouver une profitabilité.
C’est là que, selon moi, l’innovation entre en ligne de compte, pour y arriver les entreprises doivent se réinventer et prendre les actions essentielles pour améliorer leur sort. Devenir plus flexible, offrir une valeur ajouté à leurs clients sans toutefois leurs refiler la facture pour ses pertes. Elles doivent poursuivre et établir des partenariats gagnants avec clients et fournisseurs qui leur permettront de se distinguer.
Vous me direz ce n’est rien de nouveau! c’est la base d’une gestion saine.
Alors allons y! pourquoi avoir attendu si longtemps?
Selon moi aujourd’hui l’urgence est là! Elle nous donne une poussée dans le dos pour sauver notre peau. Les décisions de gestions difficiles qui ont été mise de cotés voilà plusieurs mois ou plusieurs années deviennent maintenant une priorité et doivent être prises.
Les individus doivent devenir plus flexibles et pouvoir selon leurs compétences et leurs talents en faire un peu plus, pas nécessairement en quantité, mais en qualité, comparativement à ce qu’ils avaient l’habitude de faire. (Je ne me ferai pas d’amis parmi les syndicaliste et les fans du Taylorisme, mais c’est la réalité.)
Selon moi ce tsunami, une fois le choc passé, permettra de voir de superbe innovations et de nouvelles approches de gestion comme tout l’aspect de gestion responsable et durable, la gestion collaborative, le web 2.0, la gestion des connaissances, et autre.
Je suis content d’en faire parti! Peut-être suis-je trop optimiste!?
manque de vision chez les cadres féminins?
Aujourd’hui j’ai eu un entretien de corridor avec quelqu’un qui me disait ceci:
“Hugues j’ai besoin de ton cerveau logistique et réingénierie pour revoir ce processus. J’ai beaucoup de respect pour elle et je l’aime beaucoup mais je crois qu’elle n’a pas la vision qu’il faut pour établir le bon modèle.”
J’ai été déconcerté par ce commentaire, car ayant travaillé depuis plusieurs mois avec cette collègue j’en pense tout le contraire. Je lui ai dit que je prendrais le temps de revoir avec elle son plan de match, mais que je crois qu’il est très bon considérant ce que nous savons du projet.
Ce commentaire est resté collé dans mon esprit une bonne partie de la journée jusqu’à ce que je reçoive un “newsletter” qui titrait “Do Female Execs Lack Vision?”. Il n’en fallait pas plus pour réveillé mon petit coté féministe. Ayant travaillé et travaillant avec des femmes exceptionnelles je voulais en savoir plus.
J’ai donc suivie le lien de la source de cet article, en fait c’est une recherche faite par l’INSEAD, qui s’intitule Women and the ‘vision thing’. J’ai lu et relu l’article et visionné le vidéo.
Les faits
Cette étude a été faite par des femmes
Cette étude a été faite en analysant:
- plus de 2 800 rétroaction 360 degrés de femmes cadre.
- et plus de 22 000 évaluations faite par l’INSEAD Global Leadership Center
Les constats de l’étude
- Les femmes ont peut-être une vision par contre elle semble utiliser un processus différent pour établir leur stratégie a long terme. Elle semble faire une gestion par consensus plutôt que d’établir une vision indépendante.
- les femmes ont peut-être une vision mais hésite à la mettre en œuvre parce qu’elle n’ont pas toutes les analyses pour les supporter ou parce qu’elle sont plus fréquemment contestées dans le milieux des affaires.
- les femmes peuvent ne pas valoriser les déclarations visionnaires. Certaines femmes sont sceptiques vis-a-vis les déclarations visionnaires et les interprète comme un peu un travail de vente. Beaucoup de femmes interviewées ont dit qu’elles croient que faire le travaille est ce qui devrait importer dans les affaires.
Mon point de vue
- Je crois, comme le point 1, que les femmes ont une stratégie différente pour élaborer leur vision. Selon moi c’est une force.
- Je crois aussi que certains gestionnaire ne font pas preuve de discernement et ne donne pas la chance au coureur en se basant seulement sur leurs perceptions. Voilà pourquoi j’aime tellement 6 sigma qui donne vraiment la place aux faits. Que l’analyse viennent d’un homme ou d’une femme on a la même approche… pour ce qui est de les présenter c’est différent.
- Enfin pour le dernier point, je crois que certaines visions d’entreprises sont un speech de vente. Ou alors c’est que mon coté féminin ressort.
Je me trompe peut-être, mais je crois que c’est un phénomène générationnelle. Il existe encore beaucoup de machisme au sein de nos entreprises, et je crois que malheureusement pour les machos cette époque est en déclin.
Et vous qu’en pensez-vous?
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M-A-J:
En allant au boulot se matin j’écoutais Christiane Charette et elle relate un article de Chantal Hébert alléguant que M. Harper n’ose pas donner d’entrevue aux femmes… Voilà un autre bel exemple selon moi de machisme mal placé.
voir l’article de Chantal Hébert à ce sujet.
Pour sa défense son bureau à sûrement annoncé qu’il avait commencé hier matin, lors de sa visite aux USA, à FoxBusiness… Je crois qu’il n’avait pas le choix, il devait le faire. Il essayait de vendre “son modèle” Canadien.
Peut-être qu’il considère que les canadiens et les canadiennes n’ont pas a se faire vendre ce même modèle qui lui a value d’être minoritaire… Pensez-y!
Enfin, à mes congénères je pose la question suivante:
Vous avez peur de quoi messieurs? que votre ego en prenne un coup So be it! vous allez apprendre et le monde s’en portera mieux!
Le génie de la lampe…
Voici un vidéo qu’une amie m’a suggéré de regarder… inspiré et inspirant.
Une autre façon de voir le génie…
Bonne écoute…
Le facteur 1440… vous connaissez?
crédit photo
Mon dernier article portait sur les présentations. J’y faisais mention du livre de Bill Jensen The Simplicity Survival Handbook. J’ai assisté voilà quelques années à un webinaire ou il était l’invité. Son webinaire m’avait alors incité à acheter son livre, il y parle de ce fameux facteur 1440.
Mais quel est ce chiffre magique? 1440… Nous le connaissons tous, par contre nous en faisons parfois mauvais usage.
1440 représente le nombre de minutes dans une journée. On ne peut pas le changer. Malheureusement il ne s’accumule pas comme les minutes inutilisées nos cellulaire.
C’est drôle, je dois perdre en moyenne par semaine de 60, 90 et même parfois 120 de ces précieuses minutes dans des réunions qui n’apporte rien, à part frustrations et déceptions. Je suis déçu car j’en ressors avec le sentiment qu’aucun plan d’action n’a été entrepris ou que l’information partagées n’étaient pas pertinentes. Lorsque ça m’arrive je me pose les questions suivantes: pourquoi devrais-je me présenter à une réunion auquel j’ai été invité? Parce que c’est politiquement correct de le faire? Que pour montrer mon leadership je dois me présenter à cette réunion? Tom Peters a dit dans son livre Re-Imagine “Leaders Show up!… by their presence they inspire others”. Je crois qu’il sous-entendait “when it matters…”
C’est pourquoi ces dernières semaines j’ai fait l’expérience suivante… J’ai reçu plusieurs invitations à des réunions avec seulement un sujet et un heure. Voici un exemple de sujet de réunion proposée par mon client: “Rencontre pour discuter du processus de livraisons des produits non standard”
Voici ma réaction:
“Euh… on parle de quel produits? des miens ou des leurs? Je livre mes propres produits, ils sont insatisfaits?”.
J’ai donc répondu à cette rencontre de façon “tentative” et ajoutant les commentaires suivants:
“Bonjour Jean, j’aimerais savoir ce qui sera accomplis lors de cette réunion. Je crois qu’Untel devrait y être et aussi Unetelle. Je vois sur ton invitation qu’ils n’y sont pas. Peux-tu m’expliquer exactement ce que tu cherches à savoir?”
Voici la réponse de Jean:
“Hugues, désolé je ne comprends pas bien notre processus interne de commande de matériel. Tu as raison je ne crois pas que ta présence soit requise et que je devrais parlé a seulement à M.Untel avant de tous vous convoquer”.
Et voilà par une simple réponse je venais de sauver 60 minutes à mon Agenda. Wow!! Est-ce que j’ai manqué de leadership? Non en fait je crois que j’ai coaché Jean. Est-ce que j’ai été politiquement incorrect? Non, mes questions étaient adéquates et ciblés sur l’objectif et le résultat à obtenir.
Ça me fait réaliser qu’il existe un fléau dans nos bureaux, je l’appelle: le “dumping de choses à faire pour s’en sortir”. Jensen le dit différemment et d’une plus belle façon “The Number One behavior in business today is moving To-Do’s onto someone else’s plate.” Est-ce que vous réaliser que ce genre de comportement devient un chronophage au 1440 minutes si précieuse.
Le temps c’est de l’argent dit l’adage, alors si c’est le cas, je vous propose de vous posez les questions suivantes:
- Est-ce que cette réunion
- me facilitera la vie
- aura-t-elle une influence sur l’entreprise: économies, bénéfices, ventes,etc.
- me permettra d’obtenir plus pour mes projets (reconnaissance)
- me donnera plus d’argent en bout de ligne?
Si vous répondez oui a un de ces points alors allez-y! Sinon, assurez vous de bien comprendre les enjeux et refusez et dites non à ces chronophages et savourer le facteur 1440 avec un bon latte, ou tout autre plaisirs qui vous tient à cœur.
Alors bon temps libre 🙂
NB: J’ai retrouvé sur un blog la présentation de Bill Jensen la voici.
Je vous promets…
On voit ces leaders partout. Ils se pavanent, ils tentent de faire passer leurs idées devant des millions de gens durant des débats télévisés, dans des entrevues. Tout ça pour passer un message qui doit nous toucher et nous faire avancer comme société.
Bizarrement en y réfléchissant bien je crois que c’est pareil dans la gestion d’entreprise ou des banques. On n’a qu’a regardé ce qui se passe présentement sur les marchés financiers…
C’est en discutant avec un monsieur rencontré par hasard voilà bientôt deux week-end à l’Applefest de UBC. Il me disait que lorsqu’il était en France, il achetait des entreprises en difficultés les remettaient sur pied pour ensuite les revendre. Ce qui me frappait dans ses histoires c’est que les “leaders” de ces entreprises avaient tous promis quelques choses… Pour leur actionnaires, pour leur employés et n’avait pas atteint leurs objectifs. Est-ce qu’ils ont perdu la vision de leurs objectifs? Qu’est-ce qui fait que ça n’a pas fonctionné et qu’un homme comme mon monsieur dans l’autobus réussissait? Est-ce une question de leadership ou de gestion ?
Selon moi, dans certains cas ces leaders n’étaient tout simplement pas prêts à mettre l’épaule à la roue et prendre les décisions essentielles, parfois difficiles qui auraient permis à tous d’avancer et de passé de bon à excellent. Ils ont laissé allée les choses sans revoir leurs façons de faire ou leurs façons de voir leur monde.
En plus, il semble que certains de ces « leaders » ont tenté de satisfaire le bien commun tout en passant Go et récoltant 200$. Ces façons de faire ont un impact positif à très court terme. Ils ont satisfait les actionnaires mais hypothéqués l’entreprise et retardé dans certains cas l’expansion de celle-ci.
Je serai donc tenté de dire que c’est la gestion qui est en cause et non pas la vision. Je m’avancerai aussi pour dire qu’il faut avoir une balance entre la vision et le mode de gestion. Après ma discussion avec le monsieur rencontré dans l’autobus, ou des cas comme le redressement de GE par Jack Welch, font ressortir une chose…le sentiment d’urgence. Les gens impliqués dans ces redressements avait bel et bien une vision, mais avait avant tout un sentiment d’urgence. Ils devaient sauver l’entreprise en prenant des décisions difficiles et de faire les changements requis pour retrouver productivité, rentabilité et profitabilité.
En fait, le «leader » doit se transformer en gestionnaire de crise, et prendre les moyens qui sont profitable à moyen et à long terme en se renouvelant constamment.
Malheureusement, mes observations des dernières années, me laisse souvent pensé qu’on lance des initiatives d’améliorations sans les poursuivre et on oublie de revoir les éléments collatéraux touchés par ces changements. On réagira quand l’entreprise fera face a un mur et qu’il sera peut-être trop tard pour se réinventer.